Le lexique de la cryptomonnaie
2
2FA : 2FA est un procédé d’authentification à deux facteurs, aussi appelé double authentification. La méthode consiste à utiliser une application sur votre smartphone qui augmente considérablement la sécurité de l’accès à une plateforme, un exchange ou un site d’investissement par exemple. Le principe est que cette application donne des nombres assez longs, qui changent toutes les trente ou soixante secondes et qu’il faut saisir après avoir entré son mot de passe pour avoir accès au site.
A
Altcoin : On parle d’altcoin ou de « alternative coins » pour désigner toutes les crypto-monnaies qui ne sont pas du bitcoin : Neo, Monero, Dash, Ripple, Ethereum… Il existe des centaines d’altcoins, les principales sont listées sur le site Coinmarketcap qui communique leurs valeurs ainsi que les volumes d’échanges en temps réel.
B
Bitcoin : Le bitcoin est une monnaie électronique décentralisée créée en 2009 par un (ou des) développeur dont l’identité n’a jamais été révélée. Le bitcoin est un protocole et un réseau, mais aussi une monnaie qui permet d’effectuer des paiements sans passer par une institution financière. Sa valorisation est aujourd’hui de presque $10000 par bitcoin, pour une valorisation totale de $160 milliards. Il existe 21 millions de bitcoins qui sont créés grâce au minage.
Blockchain : La blockchain est une technologie de stockage et de transmission d’informations sécurisées, transparentes et décentralisées. Elle contient un ensemble de transactions dont chaque utilisateur peut vérifier la validité. Il existe des blockchains publiques, ouvertes à tous, et des blockchains privées dont l’accès est restreint. Une blockchain publique peut être comparée à « un registre, que tout le monde peut lire librement et gratuitement, sur lequel tout le monde peut écrire, mais qui est impossible à effacer et qui est aussi indestructible. »
Burn : de l’anglais “brûler”, est le fait de supprimer un certain nombre de tokens d’une crypto monnaie pour faire baisser l’offre totale disponible. Concrètement, les tokens sont envoyés vers une adresse publique dont personne ne connaît la clé privée et sont donc inutilisables. Cela crée un déséquilibre entre l’offre et la demande et vise généralement à augmenter la valeur de chaque token.
C
Clé publique : Cette ligne de code vous permet d’envoyer et de recevoir des crypto-monnaies. La clé peut prendre la forme de chiffres et de lettres, mais aussi d’un QR Code. C’est l’équivalent d’un code IBAN, mais pour envoyer ou recevoir des crypto-monnaies.
CFD (Contract for difference) : instrument financier (un produit dérivé) permettant de parier sur la hausse ou la baisse du cours d’un actif financier, sans acheter directement cet actif. Prenons l’exemple d’un CFD à l’achat sur Bitcoin. Un contrat est passé entre l’acheteur et le vendeur. Si le prix de Bitcoin monte, votre position sera positive. Si vous clôturez votre position à ce moment-là, alors le vendeur du CFD vous devra la différence entre le prix d’achat et le prix de revente. Si au contraire vous clôturez votre position à un prix inférieur à votre entrée en position, c’est vous qui devez de l’argent au vendeur. Vous êtes en perte. Il est possible de vérifier si l’on a acheté un CFD ou la cryptomonnaie en essayant de la transférer sur le portefeuille numérique adapté. Si le transfert ne se fait pas, c’est qu’il s’agit d’un CFD. Nous recommandons vivement de vous éloigner de ce type de produit financier si vous n’êtes pas expérimenté.
Chicago Mercantile Exchange (CME) : Il est l’un des deux principaux marchés à terme américains, l’autre étant le Chicago Board of Trade (CBOT). Les deux sont situés à Chicago aux États-Unis.
Cold storage : désigne une manière de détenir et de stocker ses clés privées sur un support déconnecté d’Internet. Il est possible de stocker ses clés privées sur une simple feuille de papier – un paper wallet – ou d’utiliser des portefeuilles électroniques comme le Ledger Wallet ou le Cool Wallet.
D
DApp : Les decentralized applications sont des applications open-source et décentralisées. Contrairement à une app qui fonctionne sur des serveurs centralisés, une DApp fonctionne en peer-to-peer, sur le réseau Ethereum par exemple.
DeFi : L’objectif de la finance décentralisée est de permettre la transmission de valeur et la création d’une finance pour tous et sans intermédiaire comme peuvent l’être les banques ou les plateformes d’échange. La DeFi permet à n’importe qui d’obtenir des prêts. C’est un système totalement décentralisé pour les emprunteurs et il n’est pas possible qu’un prêt vous soit refusé. Il suffit d’avoir un accès à internet. Cela permet également aux prêteurs de faire travailler leur argent avec des taux d’intérêt décents.
DYOR : acronyme de “Do Your Own Research”, soit en Français, “faites vos propres recherches”. C’est un adage très courant en finance qui est souvent répété aux novices. Il faut toujours effectuer ses propres recherches avant de réaliser un quelconque investissement. Pour l’anecdote, le directeur de la CFTC aux États-Unis, Christopher Giancarlo (que l’on sait favorable aux crypto monnaies) était sorti d’une session au Sénat sur la thématique des cryptomonnaies en écrivant sur Twitter “Merci pour votre énorme réponse à mes récentes remarques au Sénat US. Lol. En investissant, rappelez-vous : soyez prudent, mesuré et DYOR”.
E
Ethereum : L’Ethereum est une plateforme décentralisée qui permet aux utilisateurs de créer des smart contracts. La plateforme possède aussi sa monnaie, l’Ether qui est la seconde cryptomonnaie en termes de valorisation ($45,6 milliards).
Échanges : Les échanges sont les places de marché sur lesquelles vous pourrez échanger du Fiat contre des crypto-monnaies. Les échanges dollars (ou euros) contre des bitcoins peuvent se faire sur Kraken ou Coinbase par exemple. D’autres échanges comme Bittrex ou Binance vous permettent d’échanger des bitcoins contre n’importe quelle altcoin.
F
Faucet : Un faucet, robinet en anglais, est un site ou une partie d’un site où l’on peut, en effectuant des actions très simples comme cliquer sur un bouton, récupérer des parties infinitésimales de crypto monnaies.
Fork : Un Fork est la création d’une version alternative d’une blockchain. On parle de soft fork quand les mises à jour de la blockchain sont mineures. Les anciens blocs restent compatibles avec les nouvelles règles. Dans le cas d’un hard fork, s’il n’y a pas un large consensus entre les mineurs, 2 versions d’une chaîne cohabitent.
Les nouvelles règles ne sont pas compatibles avec les précédentes. Le BitcoinCash est par exemple un « fork » du bitcoin (une version différente du bitcoin, qui n’obéit pas aux mêmes règles).
FOMO : « Fear of Missing Out ». On parle de FOMO quand des acheteurs ont peur de rater le coche lorsque le prix commence à décoller et achètent donc une crypto-monnaie. Cet achat fait monter le cours, ce qui entraîne encore plus de FOMO, et ainsi de suite.
FUD : Fear, Uncertainty, Doubt. On parle de FUD quand des discours dénigrent un projet ou une crypto-monnaie et contribuent à faire baisser son cours. Le FUD est parfois justifié (« la Chine va interdire les ICO »), mais il peut aussi être une façon de faire baisser les cours d’une monnaie.
Fiat : Les FIAT ou monnaie fiduciaire représentent les devises classiques émises par des banques : Euros, dollars…
H
Hashrate : Le Hashrate détermine la puissance de calcul d’un mineur ou d’un réseau de minage.
Hodl : Le mot « Hodl » est fréquemment employé sur les forums crypto. Ce mot vient en réalité du mot « hold », qui signifie en anglais maintenir, conserver. L’utilisation de « hodl » viendrait du fait qu’il y a plusieurs années, une personne ivre ait posté sur BitcoinTalk un message pour inciter les investisseurs à ne pas paniquer et à ne pas vendre malgré la chute des prix : au lieu d’écrire « hold », celui-ci aurait écrit « hodl ». Le terme est depuis resté et continue à être employé à chaque dump d’une crypto monnaie pour empêcher les différents investisseurs de céder à la panique.
I
ICO (Initial Coin Offering) : Les ICO sont un moyen pour un projet de lever des fonds en émettant des Tokens. Au lieu d’acheter des actions, on achète des Tokens qui peuvent par la suite être revendus (ou achetés) sur des échanges. Les ICO sont de plus en plus critiquées suite à de nombreuses arnaques.
L
Lightning Network : Le réseau Lightning est un réseau P2P de canaux de paiements, qui rend les transactions presque instantanées, à faibles coûts, concrètement cela permettrait de résoudre les problèmes de scalabilité du bitcoin (et autres crypto- monnaies), et de rendre possible son utilisation comme un véritable moyen de paiement. Contrairement aux idées reçues, le bitcoin est aujourd’hui difficilement utilisable pour payer, à cause de sa lenteur. Le déploiement de Lightning permettrait de résoudre ce problème.
M
Masternodes : Un Masternode est un serveur connecté au réseau qui réalise certaines tâches comme la validation des transactions. Pour posséder un Masternode, il suffit d’avoir suffisamment de tokens d’une monnaie qui propose ce système. Un possesseur de Masternode est rémunéré avec des tokens (la rentabilité est variable selon les monnaies).
Market cap : Le market cap (Capitalisation du marché) représente la valeur totale d’une monnaie. Il est calculé en multipliant le prix d’un token, par le nombre de tokens en circulation.
Minage : Un « mineur » possède des machines connectées au réseau et effectue des opérations de calcul afin de traiter les transactions, sécuriser le réseau… Le minage est récompensé par la distribution aux mineurs de bitcoins ou d’altcoins. Le minage est aujourd’hui principalement effectué par des entreprises chinoises dans de véritables “fermes” avec une puissance de calcul gigantesque.
N
Nodes/ noeuds : Les nœuds sont les participants à un réseau pair à pair qui assurent certaines fonctions non rémunérées de sauvegarde, validation, vérification ou transfert de données, s’ils ne se livrent pas à du minage (PoW) ou du minting (PoS). Dans le réseau d’une blockchain comme celle de Bitcoin par exemple, un nœud est un ordinateur qui stocke l’intégralité du registre (toutes les transactions ayant eu lieu depuis la création de la crypto monnaie) et qui transfère les requêtes des utilisateurs aux mineurs. Le nombre et la disponibilité des nœuds sont des facteurs importants de qualité et fiabilité d’un réseau décentralisé.
O
Over The Counter (OTC) : Littéralement “par dessus le comptoir”, est un terme anglais de finance qui désigne une transaction, un marché ou un titre s’échangeant à l’amiable, hors des places de marché classiques. En cryptomonnaie, ce sont des opérations fréquemment faites pour éviter de perturber le marché quand des cryptomonnaies changent de main en très grande quantité.
P
Proof of work (PoW) : La Proof of Work est le résultat du problème cryptographique à résoudre pour qu’une nouvelle information soit ajoutée dans un bloc. Ce résultat est difficile à obtenir et nécessite beaucoup de puissance informatique. En revanche, sa vérification est peu consommatrice de ressources, ce qui peut être effectué par le plus nombre. Cette méthode de validation par preuve de travail est utilisée pour ajouter un bloc supplémentaire à la chaîne de blocs, chaque mineur du réseau doit réaliser des calculs coûteux en temps et en énergie afin de chiffrer l’ensemble des transactions d’un bloc ainsi que les transactions chiffrées de la chaîne de bloc précédente. Lorsque la solution est validée, elle est diffusée à l’ensemble du réseau. Le mineur ayant trouvé la solution est récompensé en monnaie nouvelle selon les modalités définies par le protocole de la crypto-monnaie.
Proof of stakes (PoS) : La Proof-of-Stake (preuve d’intérêt) est une autre méthode de validation des blocs. Celle-ci est basée sur les avoirs (ainsi que leur temps de conservation) de la personne et se définit généralement par un pourcentage de création monétaire. C’est une méthode parallèle pour atteindre un consensus décentralisé et qui a l’avantage de consommer peu d’énergie.
Pump / Dump : On parle de pump quand la valeur d’une monnaie augmente fortement, et de dump lorsqu’elle baisse. Il existe des mécaniques « pump and dump » pour volontairement augmenter la valeur d’une monnaie en la manipulant.
S
Satoshi : Un satoshi est la plus petite unité de valeur du Bitcoin (0.00000001 BTC). La plupart des crypto-monnaies sont échangées contre des bitcoins, et leur valeur est donc en satoshis plutôt qu’en Fiat.
Satoshi Nakamoto : C’est le légendaire et mystérieux inventeur du bitcoin. C’est aussi le fondateur du site bitcoin.org, et du forum bitcointalk, très utilisé par la communauté. On estime qu’il dispose d’une fortune d’un million de bitcoins.
Scam : Scam est un terme argotique anglais signifiant « arnaque », il s’agit d’une escroquerie tout simplement. Un projet est un « scam » lorsque les instigateurs de celui-ci partent avec les fonds des investisseurs.
Sharding : Il s’agit d’un processus de fragmentation ou division horizontale des bases de données en parties plus petites ou en fragments. Ceci afin de permettre une meilleure manipulation de ceux-ci, les rendant moins lourds et plus faciles à utiliser. Une technologie particulièrement indiquée dans les blockchains puisque les noeuds de validation des transactions doivent en général chacun avoir une copie de la base de données.
Shitcoin : Un shitcoin est une crypto monnaie n’ayant aucun projet viable, aucune base technique sérieuse et donc aucune valeur intrinsèque. Ce type de coin est souvent utilisé pour spéculer afin de profiter de la volatilité d’un cours. Certains projets de shitcoins sont cependant des arnaques très bien déguisées pouvant facilement tromper des investisseurs un peu trop dupes. Il est donc très important de se renseigner précisément sur chaque projet avant se procurer des tokens.
Sidechain : la sidechain représente en cryptomonnaie une blockchain secondaire, pouvant fonctionner distinctement de la blockchain principale. La sidechain est utilisée pour désengorger la chaîne de blocs principale. Celle-ci enregistre de base tout l’historique des échanges réalisés, ainsi que les données de tous ses utilisateurs depuis sa création, et elle doit reprendre toutes ses données avant de valider chaque nouvelle transaction. La sidechain peut prendre en charge directement le transfert d’actifs, tout en étant censée garantir la sécurité des transactions.
Signature numérique : La signature numérique, ou électronique, est un procédé permettant de garantir l’intégrité d’un document électronique et d’en authentifier l’auteur. La plupart recourent à la cryptographie asymétrique, notamment dans le cas des cryptomonnaies. Un tel procédé doit permettre d’identifier la personne ou l’organisme qui a apposé sa signature et de garantir que le document n’a pas été altéré entre le moment où la personne ou l’organisme appose sa signature et celui où le lecteur le consulte. Ce procédé est constamment utilisé dans les systèmes de crypto monnaies pour valider les transactions: la signature numérique, qui varie suivant chaque monnaie, permet à l’émetteur d’une requête de montrer qu’il est bien le détenteur de la clé privée associée à l’adresse publique qu’il utilise, sans avoir à dévoiler cette clé privée, ce qui enlèverait tout intérêt au système. La signature numérique permet également de garantir le fait que la transaction n’a pas été modifiée lors de son court passage sur le réseau: le moindre changement des données de la transaction modifierait complètement la signature électronique.
Smart contract : Ce sont des programmes autonomes qui exécutent automatiquement les conditions et termes d’un contrat, sans nécessiter d’intervention humaine une fois démarrée.
Stablecoin : un stablecoin est un coin qui réplique la valeur d’un actif stable généralement en dehors du monde des crypto monnaies, le dollar US ou l’or par exemple, faisant d’eux des valeurs refuges pour les investisseurs qui veulent se protéger contre la forte volatilité du marché des crypto monnaies sans en sortir. En effet, lorsqu’un investisseur pense que le marché des cryptomonnaies va baisser, il achète des stables coins (Tether notamment), et les vend contre des cryptomonnaies lorsqu’il pense que le marché va monter, si bien que les paires BTC/USDT (Bitcoin/Tether) et ETH/USDT sont systématiquement les premières paires d’échanges de ces monnaies.
T
Tangle : Le Tangle est une architecture de DLT basée sur un DAG (Directed Acyclic Graph / graphe orienté acyclique). IOTA est à l’origine du terme et est la première à proposer sa mise en application. Dans le Tangle, une transaction valide deux transactions passées. Le consensus n’est pas géré par une partie du réseau (mineurs ou forgeurs), mais par l’ensemble des participants actifs (soit des appareils réalisant des transactions). Le Tangle est donc hautement décentralisé, mais faiblement sécurisé.
Token : Un token ou jeton est l’unité de base d’une blockchain. Le token de la chaîne bitcoin est le bitcoin. Il est possible de créer des tokens qui ont leur propre valeur à partir d’une chaîne. C’est le cas de très nombreux projets basés sur la blockchain Ethereum. Les tokens sont l’unité transactionnelle et informationnelle sur une blockchain.
On distingue le token du coin, bien qu’il n’y ait pas encore de consensus clair sur leur définition et des différences entre un token et un coin. Un token peut être considéré comme un bon d’achat numérique dont l’unicité est prouvable mathématiquement et pouvant être échangé contre des actifs, services ou biens. Ether est aussi bien un coin qu’un token: c’est un coin dans son rôle de monnaie comme unité de compte, réserve de valeur ou intermédiaire des échanges. C’est aussi un token dans sa capacité à donner accès à un service, lorsque l’on s’en sert pour payer du Gas et ainsi avoir accès aux fonctionnalités de l’EVM. Par conséquent, les “pure coins” (Bitcoin, Monero, Dash, Litecoin etc.) ne peuvent être que des coins. Mais REM, DFT, LSK, EOS, GNT, STRAT et bien d’autres peuvent être aussi bien des coins que des tokens.
La définition de CoinMarketCap est différente et considère qu’un token est une crypto monnaie qui n’a pas (encore) sa propre blockchain.
Un token est créé généralement sur la blockchain de l’ETH, mais cela peut être aussi sur celle de Next, Omni, Counterparty ou encore Neo. Selon cette définition, un coin est une crypto monnaie ayant sa propre blockchain.
Le concept de token ne provient pas directement de l’écosystème des crypto-monnaies: il est bien plus ancien. Un token désignait il y a déjà plusieurs siècles, en Angleterre notamment, une monnaie parallèle à l’unité monétaire nationale émise par une guilde, un groupe de commerçants, ou encore une ville, et acceptée par le pouvoir en place.
Tokenisation : la tokenisation désigne le processus de numérisation d’un actif sur un token (et plus précisément un security token). Elle permet ainsi d’attribuer à différentes personnes des droits de possession ou d’utilisation de cet actif et d’échanger ses tokens en pair-à-pair sur une blockchain. Le phénomène de tokenisation pourrait à terme intervenir sur tout type de biens et d’actifs : immobilier, mobilier, titres financiers, mais aussi œuvres d’art et autres
V
W
Wallet : C’est un portefeuille qui permet de stocker ses crypto-monnaies sur un ordinateur, ou en ligne. Chaque monnaie peut avoir son propre wallet. Il existe aussi des périphériques de stockage physiques, particulièrement sécurisés. Vous pouvez aussi stocker vos crypto-monnaies sur les échanges en ligne. Mais vous prenez le risque de tout perdre en cas de hack ou de piratage de vos données…
Whales : On parle de Whales ou de baleines pour parler de personnes possédant une quantité importante d’une crypto-monnaie, à tel point qu’elles peuvent en manipuler le cours. Contrairement aux marchés financiers, les crypto-monnaies ne sont pas encore régulées, ce qui explique des pratiques illégales sur les marchés régulés.
White Paper : Un White Paper est le document qui présente un projet de blockchain ou de crypto-monnaie. Ces documents permettent de convaincre (ou non) les acheteurs potentiels d’investir dans un projet.